Pages 138 139 . 141 142 143 . . . . . . . . . 153 154 155 156 157 158
Page 140

MR. BOXHALL: No, sir.
SENATOR SMITH: Have you had any information since about it?
MR. BOXHALL: None whatever.
SENATOR SMITH: You say you fired these rockets and otherwise attempted to signal her?
MR. BOXHALL: Yes, sir. She got close enough, as I thought, to read our electric Morse signal, and I signaled to her; I told her to come at once, we were sinking; and the captain was standing —
SENATOR SMITH: This was the signal?
MR. BOXHALL: Yes, sir.
SENATOR SMITH: Go ahead.
MR. BOXHALL: I told the captain about this ship, and he was with me most of the time when we were signaling.
SENATOR SMITH: Did he also see it?
MR. BOXHALL: Yes, sir.
SENATOR SMITH: Did he tell you to do anything else to arrest its attention?
MR. BOXHALL: I went over and started the Morse signal. He said, "Tell him to come at once, we are sinking."
SENATOR SMITH: You were sinking already, you say?
MR. BOXHALL: Yes, sir.
SENATOR SMITH: "Come at once, we are sinking"?
MR. BOXHALL: Yes.
SENATOR SMITH: What would be that signal?
MR. BOXHALL: It was sent in the Morse key, the Morse code.
SENATOR SMITH: And you did that?
MR. BOXHALL: Yes, sir.
SENATOR SMITH: And did you get any reply?
MR. BOXHALL: I can not say I saw any reply. Some people say she replied to our rockets and our signals, but I did not see them.
SENATOR SMITH: Was any attempt made to get in wireless communication after you saw this boat — what you took to be a boat?
MR. BOXHALL: I do not know what was transpiring in the wireless room.
SENATOR SMITH: These signals you utilized were Morse signals?
MR. BOXHALL: Yes.

M. BOXHALL : Non, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous eu des renseignements à ce sujet depuis?
M. BOXHALL : Aucun.
LE SÉNATEUR SMITH : Vous dites que vous avez tiré ces fusées et que d’autres ont tenté de lui faire signe?
M. BOXHALL : Oui, monsieur. Il s’est approché assez près, comme je le pensais, pour lire notre signal Morse électrique, et je lui ai fait signe; je lui ai dit de venir tout de suite, nous étions en train de couler; et le capitaine se tenait debout —
LE SÉNATEUR SMITH : C’était le signal?
M. BOXHALL : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Allez-y.
M. BOXHALL : J’ai parlé de ce navire au capitaine, et il était avec moi la plupart du temps lorsque nous faisions des signaux.
LE SÉNATEUR SMITH : L’a-t-il vu lui aussi?
M. BOXHALL : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Vous a-t-il dit de faire autre chose pour arrêter son attention?
M. BOXHALL : Je suis allé faire le signal Morse. Il m’a dit : «Dites-lui de venir tout de suite, nous sommes en train de couler.»
LE SÉNATEUR SMITH : Vous disiez que vous étiez déjà en train de couler?
M. BOXHALL : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : «Venez tout de suite, nous sommes en train de couler»?
M. BOXHALL : Oui.
LE SÉNATEUR SMITH : Quel était ce signal?
M. BOXHALL : Il a été envoyé dans la clé Morse, le code Morse.
LE SÉNATEUR SMITH : Et vous l’avez fait?
M. BOXHALL : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Et avez-vous eu une réponse?
M. BOXHALL : Je ne peux pas dire que j’ai vu une réponse. Certains disent qu’il a répondu à nos fusées et à nos signaux, mais je ne les ai pas vus.
LE SÉNATEUR SMITH : A-t-on tenté d’établir une communication sans fil après avoir vu ce bateau — ce que vous avez pris pour être un bateau?
M. BOXHALL : Je ne sais pas ce qui se passait dans la cabine radio.
LE SÉNATEUR SMITH : Ces signaux que vous avez utilisés étaient des signaux en morse?
M. BOXHALL : Oui.

Pages 138 139 . 141 142 143 . . . . . . . . . 153 154 155 156 157 158
Page 140